Un coaching pleinement réussi

De tous les stages que j’ai fait, le coaching est de loin le plus profitable. Je vais vous raconter comment j’ai eu un coaching pleinement réussi. Concrètement, c’est là que j’ai compris que je ne déléguais pas assez, que je prenais trop sur moi (et que cela me fatiguais) et que ma forme c’était dégradée.

J’ai pu aborder le sujet de la motivation de mes collaborateurs les plus âgés : il faut savoir trouver les ressorts et convaincre le personnel qui va bientôt partir en retraite. Il faut remporter l’adhésion de cette population. C’est plus difficile mais plus intéressant.

Me repositionner par rapport à l’environnement

Dans les situations difficiles de management, le coaching m’a permis de prendre du recul et de me repositionner par rapport à l’environnement : le directeur est un homme seul pour prendre les décisions et il peut être en proie au doute. Parler à coach qui est neutre apporte de l’oxygène, des idées neuves et m’a ouvert l’esprit. De plus ce dernier, qui n’a pas d’aprioris, ne sait pas ce qu’il faut faire. Il ne vous donne pas de conseils qu’on n’appliquerait pas de toute façon.

L’aspect « gestion de la pression » a été très important pour moi. Comment me libérer du temps et ne pas faire que bosser ? J’en ai pris conscience et j’essaie de m’organiser pour desserrer l’étau, partir plus tôt et me fixer des limites pour être plus en forme et donc plus efficace. Ce qui m’a fait gagner du temps. J’étais dans un cercle vicieux : je ne prenais pas le temps pour me soigner et cela n’est pas normal. Je ne faisais plus rien. Or, je n’ai pas envie comme certains collègues de devenir alcoolique, faire une crise cardiaque ou avoir un accident du travail. La fatigue peut faire perdre tous les repères et faire prendre des médicaments ou des excitants pour tenir le coup. Quand on parle de risques psycho-sociaux, le coaching permet de faire baisser la pression.

Au début, je ne voyais pas où on allait mais au fil des séances, cela a fini par s’éclairer.

Bénéficier d’un coaching à sa prise de poste

Maintenant le pli es pris et je m’interroge tout le temps sur ce que je fais et comment je le fais. Je ne me mets plus seulement dans le cadre institutionnel de mon entreprise. J’ai compris que j’avais une large marge de manœuvre entre mon poste précédent (équipe de 15 personnes) et aujourd’hui avec une équipe de 50. Je ne peux pas les traiter comme si c’était une boite familiale. C’est vrai que, c’est à ma prise de poste que j’aurais aimé bénéficier d’un coaching. Cela m’aurait permit d’éviter quelques impairs et de gagner du temps.

Le fait de pouvoir se poser au calme, deux heures, sans emails ni téléphone dans un autre lieu et pouvoir réfléchir à son management dans un endroit bienveillant est vraiment une chance.

Aller vers la posture de manager-coach m’a bien plu et j’essaie maintenant de l’appliquer au quotidien car j’en vois toute la puissance dans la conduite du changement d’un coaching pleinement réussi.

Je dois dire aussi que j’ai un N+1 calme et posé qui voit les problèmes et qui écoute, qui laisse parler sur les sujets, qui questionne et reformule. C’est un bon qui ira loin.  Avoir un manager coach est vraiment agréable.

Construire un plan d’action

Je suis très satisfait de partir avec un plan d’action et j’ai eu un grand plaisir à travailler avec vous. Vous être agréable, sympathique et d’une grande lucidité. Vous ne m’avez pas laissé avec des solutions de facilité pour mieux me faire sortir de la routine et que je puisse créer mes propres solutions ce dont je vous remercie. J’ai pu aussi mesurer la simplicité et l’efficacité de leur application. Changer de mentalité pour faire émerger les solutions : cela marche !